Elle reste celle du cycle de notre existence. Notre naissance, la vie, la fond mais a ce qui pres que je n’ai gui?re connu certains des moments d’une vie d’un homme »
« La tristesse des elephants »
Tout commence via ce titre, une histoire, une couverture au crayonne pastel, crayons de couleurs de nos trousses d’ecole. Une affaire qui nous donne l’infinie besoin d’ouvrir les pages ainsi que nous laisser happer avec votre romance douce-aigre que l’on nomme l’existence. Ce quelque chose de doux, d’insurmontable et pourtant si bon, si tendre. Cette couverture oui, bel objet d’une nuit noire ou scintillent plusieurs eclairages posees sur une guirlande. Une nuit etoilee. Une nuit enguirlandee. Une nuit faite Afin de des heros, gui?re ceux qui portent un costume et sauvent individu, biceps et forces en atout ! Non ! Les heros anonymes, invisibles, ceux qui ne font pas de bruit. Les heros d’une life ordinaire dans un monde ordinaire. Des heros rejetaient parce que multiples, timides, hors normes, disgracieux, solitaires. Plusieurs heros ordinaires mis a l’ecart dans un monde nullement ordinaire, 1 cirque en somme.
Alors oui, Louis n’est gui?re un super heros. Cela pourrait etre aussi d’apri?s ses camarades d’orphelinat un super zero, la tete de turc, celui qui merite nos pires chatiments, les humiliations nos plus extremes parce qu’il est gros, bigleux, timide et jamais doue concernant deux sous.